1. |
La partie d'amour
02:26
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La partie d’amour
Ta présence même
Tant elle me fait mal
Tant j’ai peur de perdre
La partie d’amour
Que tu mènes, m’ennuie (bis)
C’est aujourd’hui même
Que je veux m’enfuir
Qu’il faut en finir
De ces jeux de peine
Trop d’amour m’ennuie (bis)
Tu sais que je t’aime
Jusqu’à la douleur
Qu’au delà de toi
Rien ne me retienne
Tristes jours d’ennui (bis)
Tant d’amour ne mène
Qu’à grandir ma peine
Tu dois me permettre
De m’enfuir d’amour
Le chagrin m’ennuie (bis)
J’ai peur de te perdre
L’amour est fragile
Laisse-moi partir
Il sera trop tard
Le malheur m’ennuie….
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2. |
Capucines
03:21
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Capucines
Baignée par la chaude lumière de l’été
Une couturière s’affairait
Un surfilage, un surjet
Des accrocs à réparer
Dans sa longue robe
Aux manches évasées
Au milieu des tissus froissés
Elle imagine la courbe naturelle
La coupe du vêtement parfait
Son cœur cousu de mille fils
Entremêlés par les années
Cherche encore une terre d’asile
Une terre enfin où résonner
Bercée par le rythme de sa machine
Ses mains se promènent agiles
Sur des étoffes plus ou moins dociles
Des soies d’Asie fleuries de capucines
Penchée sur son ouvrage
Elle se rappelle son jeune âge
Ses rêves de rencontres ses voyages
Avec le fil pour seul bagage
Son cœur cousu de mille fils
Entremêlés par les années
Cherche encore une terre d’asile
Une terre enfin où résonner
Passées les années
Les liens qu’elle a tissés
Elle a toujours rapiécé
La trame d’une histoire écourtée
Un point pour toi
Un point pour moi
Un point pour s’exclamer,
De quoi s’interroger
Du fil pour bâtir sa vie
Son cœur cousu de mille fils
Entremêlés par les années
Cherche encore une terre d’asile
Une terre enfin où résonner
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3. |
Pinsong
02:51
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Le pinsong
Un pinson vif comme l’eau
S’ébroue sur une branche
La pinsonne de là-haut
Sans préalable le branche
Lui lui lance une joli trille
Ah friponne pinsonne
Voilà qu’elle part en vrille
Tandis qu’il s’époumone
Cette histoire on la connaît
On nous la tralala
On nous la yéyéyé
Elle finit mal en général
Un raton don Juan dans l’âme
Courtise une jolie poupée
Mais la ratonne sa femme
De la ville st rentrée
Ah! dit l’infidèle, ma bonne
Tu es mon unique amour
Et la belle matrone
Naïve y croit toujours
Cette histoire on la connaît
On nous la tralala
On nous la yéyéyé
Elle finit mal en général
Un mouton vraiment sexy
Dans une mare se mire
La moutonne fort éblouie
Un beau matin lui serine
Ah que j’kiffe tes frisettes
Blanche laine et ton blouson
Bêêêêê lui répond la bête
Moi je n’kiffe que les garçons
Cette histoire on la connaît
On nous la tralala
On nous la yéyéyé
Elle finit mal en général
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4. |
Ces jours-là
02:38
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Ces jours-là
Ces jours-là, quand on n’est pas bien
Complètement raplapla
On touche du doigt tout ce qu’on n’aura pas
On se dit à quoi bon,
J’y arriverai pas de toute façon
En tout cas pas aujourd’hui
Là c’est fini
Et on se laisse aller au rythme des pensées
Et on se laisse aller comme du bois flotté
Mais vers quel horizon
On ne le saura qu’à l’arrivée
Vers un pays plus gai à l’humeur enchantée
Qui réveillera nos désirs enflammés
Qui prouvera que jamais (Non jamais)…
On se dira, c’est génial, j’y avais pas pensé
Maintenant je peux, oui, je peux y arriver
Et on se laisse aller au rythme des pensées
Et on se laisse aller comme du bois flotté
Mais vers quel horizon
On ne le saura qu’à l’arrivée
On se prépare alors à repartir encore
Vers de nouveaux décors (Alors là j’adore)
On ne remet plus à demain (Comme chaque matin)
Et surtout inventer, et puis se rappeler
Comme c’est bon, oui, c’est bon de chanter
Et puis de le partager
Et que le bois flotté devienne une œuvre d’art
la la la…
Et on se laisse aller au rythme des pensées
Et on se laisse aller comme du bois flotté
Pa-pa-pa-pa-pa-pa-pa-parce que la vie c’est comm’ ça
Ya des haut et ya des bas
Ya des bas et ya des hauts
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5. |
La rose et le jardinier
02:42
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La rose et le jardinier
Une caresse, un baiser,
Ce n’est rien
Mais tu sais, moi j’aimais
Quand tes mains m’effleuraient
Que ton coeur me disait
Rose du soir, à tes côtés
je passerais ma vie
Ce jardin clos n’a qu’une histoire
Ma rose jamais ne mourra
Tu seras toujours belle
A ta voix se mêlait l’herbe douce
Et le vent et le vent
Me disait que je refleurirai
À jamais à jamais
Rose du soir, à tes côtés
je passerais ma vie
Ce jardin clos n’a qu’une histoire
Ma rose jamais ne mourra
Tu seras toujours belle
Quand tes mains, douces mains,
Me cueillirent
En tremblant tu m’as dit ce n’est rien
Mais la nuit lente nuit
Vint troubler ton regard,
Rose du soir, à tes côtés
je passerais ma vie
Ce jardin clos n’a qu’une histoire
Ma rose jamais ne mourra
Tu seras toujours belle
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6. |
Je suis nuage...
02:45
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Je suis nuage...
Nuage flottant dans les alizés
Mille vies en moi émerveillées
parmi les miens dans les nuées
je me laisse emporter
Soleil brûlant du feu ardent de la vie
Les cœurs réchauffés me sourient
Voyageur de la galaxie
Je réveille les planètes endormies
Terre semence de tous les projets
En mon sein les corps reposés
Berceau de l’humanité
Mère vénérée je comble les affamés
Pluie source des ruisseaux
Une fontaine de l’eau
Coule tombe caracole
Goutte d’or notre trésor
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LES DAMES DE LA POSTE Billère, France
LES DAMES DE LA POSTE : trois voix, une guitare, un piano, un cajon, quelques percussions, et une petite dose d’humour. Leur poésie s’exprime tout autant à travers les textes qu’à travers l’harmonie des voix et la qualité des arrangements musicaux. La musique est avant tout une liberté revendiquée, celle de chanter et de raviver en toute occasion le sens de la rencontre et du partage. ... more
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